- Puissances sur les réseaux triphasées : définitions et mesure en régime sinusoïdal et non-sinusoïdal. (BTS).
- Première leçon sur le transformateur monophasé : conventions, équations en valeur instantanée, équations et schéma équivalent en régime sinusoïdal permanent. (BTS).
- Transformateur en régime non sinusoïdal de tension : relations générales, exemples d\’application. (BTS).
- Transformateur triphasé : constitution, indice horaire. Fonctionnement en parrallèle. (IUT).
- Première leçon sur les convertisseurs statiques électroniques. La fonction interrupteur : modes de commande, directionnalité, changement d\’état, interrupteurs de synthèse. (IUT).
- Les cellules de commutation usuelles de l\’électronique de puissance : principe, fonctionnement, réversibilité, associations. (IUT).
- Cellules de commutation du type : transistor à grille isolée (MOS ou IGBT) – diode. Commutations. Pertes. (IUT).
- Pont complet monophasé. Modes de commande. Réglage de la puissance. (IUT).
- Hacheurs : classification, réversibilité, étude s\’un exemple. (IUT).
- Onduleurs à résonnance : principe, types de fonctionnement, interrupteurs utilisés, applications. (IUT).
- Méthode du plan de phase : application à un convertisseur DC-DC à résonnance. (IUT).
- Alimentation à découpage “forward” à un seul interrupteur commandé. (IUT).
- Alimentation à découpage “flyback” à un seul interrupteur commandé. (IUT).
- Absorption de courant sinusoïdal sur le réseau : principe, exemple de convertisseur. (IUT).
- Ponts redresseurs commandés : caractéristiques de sortie ; facteur de puissance. (BTS).
- Circuits magnétiques incluant des aimants premanents : applications aux machines électriques. (IUT).
- Principe de la conversion d\’énergie des MCC. Couple. (BTS).
- Réglage électronique des caractéristiques mécaniques des MCC à excitation séparée : limites de fonctionnement dans le plan couple-vitesse. (BTS).
- Asservissement de vitesse d\’une MCC dont l\’induit est alimenté par un hacheur réversible, boucles de courant et de vitesse. (IUT).
- Forces magnétomotrices d\’entrefer dans les machines à courant alternatif. (IUT).
- Principe de la conversion d\’énergie dans les machines synchrones. Etablissement d\’un schéma équivalent monophasé. (IUT).
- Machine synchrone alimentée par un réseau de fréquence fixe : conventions, diagrammes et réversibilité. (IUT).
- Machine synchrone à poles lisses : modèle et diagramme de Potier. (BTS).
- Machine synchrone à pôles saillants non saturée : modèle et diagramme à deux réactances. (IUT).
- Machine synchrone autopilotée alimentée en courants sinusoïdaux par un onduleur de tension : commande, formes d\’ondes, caractéristiques. (IUT).
- Principe de la conversion d\’énergie dans les machines asynchrones. Etablissement d\’un schéma équivalent monophasé. (IUT).
- Machine asynchrone : Couple, modes de fonctionnement, bilan de puissance. (BTS).
- Caractéristiques et modes de fonctionnement d\’une machine asynchrone triphasée à cage alimentée par un réseau de fréquence et de tension fixe. (IUT).
- Réglage électronique du couple des machines asynchrones triphasées à cage. Introduction à l\’autopilotage. (IUT).
- Moteur pas à pas : principe, caractéristiques et alimentation. (IUT).
Puissances sur les réseaux triphasées : définitions et mesure en régime sinusoïdal et non-sinusoïdal. (BTS).
- Guide du technicien en électrotechnique. (Mauclerc, Aubert, Domenach).
- Electrotechnique industrielle. (Séguier Notelet).
Système triphasé équilibré.
Définition de P, Q, S, k=P/S et D e, régime quelconque et sinusoïdal.
Théorème de Boucherot. (sur les puissances actives).
Systèmes équilibrés.
Notion d\’impédance cyclique -> Schéma équivalent et puissance en monophasé -> pas de puissance fluctuente en triphasé.
Systèmes déséquilibrés.
P=P1+P2+P3, Q=Q1+Q2+Q3, mais S<>S1+S2+S3
Mesure.
Appareillage de mesure : Wattmètre, multiplieur.
Méthode des 2 Wattmètres. (valable en sinusoïdal quelqu\’il soit).
En régime équilibré, on peut avoir phi avec la méthode des 2 Wattmètres.
Différents types de régimes non sinusoïdaux.
Sinus de tension, non sinus de crt. (redresseur à diodes).
Sinus de crt, non sinus de tension. (onduleur).Puissance active et réactive en non sinusoïdal.
P=Sum(Uk*Ik*cos(phi(k))). Q=Sum(Uk*Ik*sin(phi(k))/k).
S=sqrt(Sum(Vk²))*sqrt(Sum(Ik)²).Si on a une grandeur sinusoïdale, P=U1*I1*cos(phi).
On peut donc utiliser Boucherot si on a une grandeur sinusoïdale.
Première leçon sur le transformateur monophasé : conventions, équations en valeur instantanée, équations et schéma équivalent en régime sinusoïdal permanent. (BTS).
Nécessité (adaptation du niveau de tension, facilité de refroidissement p/r a u transfo tri).
Constitution.
Conventions. (Bornes homologues).
Equations magnétiques. (Loi d\’Hopkinson).
Equations électriques. (tension primaires et secondaires).
Hypothèses.
r1=r2=l1=l2=R=0.
Rapport de transformation u2/u1.
Impédances ramenées (en sinusoïdal).
Intérêt du transfo.
Hypothèse de Kapp : Flux forcé (pertes faibles).
Transformateur à vide (Hopkinson).
Transfo en charge.
(on soustrait I10 à I1 en charge).
Transformateur en régime non sinusoïdal de tension : relations générales, exemples d\’application. (BTS).
- Electronique de puissance (W Lander) -> transfo d\’impulsions.
- Alimentations à découpage, convertisseurs à résonnance. (Ferrieux Forest). -> Alim à découpage.
- Génie électrotechnique : Collection Etapes.
- Electrotehnique industrielle (Séguier-Noetelet).
Loi d\’Hopkinson. (Rappeler le schéma équivalent Hopkinson).
Equation des tensions primaires et secondaires. (Schéma électrique à mettre et conventions).
Hypothèses. (on se place dans le cas r1=r2=l1=l2=0).Equations dans le cas sinusoïdal et relation de Boucherot.
Montage avec B=f(U) symétrique.
Onduleur de tension pleine onde.
A partir de Boucherot, on obtient Veff max -> Gain de volume si on augmente f.
Montage avec B=f(U) dissymétrique.
Transfo d\’impulsions. (utilité : isolation galvanique).
Alimentation Forward. (utilité : rapport de tension et isolation).
Transformateur triphasé : constitution, indice horaire. Fonctionnement en parrallèle. (IUT).
3 transfo distincts.
Branche en parrallèle (pb de déséquilibre à vide sur certains montages).
Cuirassé (trois tores pour mettre les bobines dans un bloc de matériau).
Etoile(Y) / Triangle(D) / Zig-Zag(Z).
Choix du couplage.
BT : étoile pour bénéficier des tensions simples.
HT : étoile avec neutre pour protéger à la terre.
Couplages différents en entrée et sortie. (Yy, Dy, Yd, Yz, Zy).Rapport de transformation.
Etude des couplages (Yy, Dy, Yz).
Indice horaire. (I=-teta/(Pi/9)).
Mise en parrallèle de transformateurs.
Intérêt : on rajoute ou on enlève des transfo afin de les faire fonctionner à point de fonctionnement nominal.
Modélisation.
Courant de circulation (homopolaire) -> condition de mise n //.
Première leçon sur les convertisseurs statiques électroniques. La fonction interrupteur : modes de commande, directionnalité, changement d\’état, interrupteurs de synthèse. (IUT).
- Ferrieux Forest.
- Séguier tome 3.
- Commutation douce. (Chéron).
- Guide du technicien en électrotechnique. (Mauclerc, Aubert, Domenach).
Pour chaque, donner la caractéristique réelle (avec des ordres de grandeurs : courant limite…) et idéalisée, et la commande. Parler du blocage pour le thyristor (tq).
Diode.
Thyristor.
GTO. (commande en vgs).
Transistor. (commande par ib).
Sources de tensions, de courants. (pas de dicontinuité à l\’échelle des commutations.)
Associations. (besoin d\’inter 2,3,4 egments -> associations série ou parrallèle).
Changement d\’état. (Cadran interdits -> Commutation spontanée et commandée).
Classification.
2,3,4 segments.Exemple d\’un interrupteur de synthèse.
Le thyristor dual. (dual -> symétrique p/r à la première diagonale.)
Les cellules de commutation usuelles de l\’électronique de puissance : principe, fonctionnement, réversibilité, associations. (IUT).
- Séguier Tome 3.
- La commutation douce. (Chéron).
- Méthode d\’étude des convertisseurs statiques. (Walrave).
- Ferrieux Forrest.
Rappels sur les interrupteurs.
Interrupteur réel idéalisé.
Diagramme 4 quadrant, hypothèses parfait, commutation spontanée et commandée.
Les fonctions interrupteur. (diode, thyristor, transistor).
La cellule élémentaire. (2 inter sur source de courant).
La commutation naturelle.
Influence de la nature réelle des sources. (inductance de ligne -> décroissance du courant linéaire).
Synthèse des cellules de commutation.
Hacheur réversible en courant. (pas en tension).
Cellule correspondant à la traction.
Cellule correspondany au freinage.
Mise en parrallèle.Onduleur de tension.
4 phases de fonctionnement. -> présence des diodes en anti-parrallèle.
Cellules de commutation du type : transistor à grille isolée (MOS ou IGBT) – diode. Commutations. Pertes. (IUT).
Considérations d\’ordre général. (possibilité de réversibilité en courant)
Fonctionnement.
La diode.
PIN.
Le transistor.
MOSFET. (ne pas oublier les ordres de grandeur).
IGBT.
Critère de choix.
Pertes en commutation dans les cellules.
Pertes intrinsèques.
Stockage de charges.
Influence de la résistance de grille.
Améliorations : CALC et écrêteur RCD.
Pont complet monophasé. Modes de commande. Réglage de la puissance. (IUT).
- Guide du technicien en électrotechnique. (Mauclerc, Aubert,Domenach).
- Electronique de puissance. (Lander).
- Séguier tome 4.
Pont avec source de tension -> source de courant.
Pont avec source de courant -> source de tension.
Onduleurs de tension. (ne pas oublier de parler des composants pour réaliser les différents montages)
Exemple. (Schéma avec condensateur en entrée et bobine en sortie).
Mode de commande pleine onde.
Mode de commande décalée.
Mode de commande MLI. (on rejette les harmoniques).
MLI calculée. (possibilité de commander le fondamental et x harmoniques à 0 ou x+1 harmoniques à 0).
MLI intersective.
MLI Hystérésis. (on cherche à avoir un courant absorbé sinusoïdal, facilité du réglage de puissance).Réversibilité de l\’onduleur de tension. (on passe d\’un onduleur à un redresseur, attention à la réversibilité de la source).
Hacheurs : classification, réversibilité, étude s\’un exemple. (IUT).
Diagramme source I/U vers source I/U.
Classification hacheur direct (dévolteur survolteur) et indirect.
Structure générale. (2 fct de modulation et 2 ou 4 interrupteurs).
On étudi euniquement la structure tension -> courant.
Hacheur dévolteur.
Hacheur survolteur.
Hacheur réversible en courant. (etude vis à vis de la source de courant uniquement)
on place une structure transistor + diode en anti parrallèle à la place des composants du hacheur dévolteur
Hacheur réversible en tension. (etude vis à vis de la source de courant uniquement)
Transistor à la place de la diode dans le hacheur dévolteur.
Hacheur réversible en courant et tension. (etude vis à vis de la source de courant uniquement)
Deux transistors en antiparrallèle à la place des composants du hacheur dévolteur.
Hacheur à stockage inductif.
Hacheur à stockage capacitif (citer sans le développer).
Onduleurs à résonnance : principe, types de fonctionnement, interrupteurs utilisés, applications. (IUT).
- La leçon est centrée sur le transfert de puissance -> utilisation de l\’onduleur à résonnance pour éviter les pertes dues aux harmoniques. (Autre solution, MLI + passe-bas).
- présentation onduleur de tension et de courant.
Principe des onduleurs à résonnance.
Onduleur série. (onduleur de tension)
Onduleur parallèle. (Onduleur de courant)
Modes de fonctionnement.
On fait dans l\’étude l\’approximation du premier harmonique.
Onduleur série.
Charge capacitive et wOnduleur //.
Charge capacitive et w>wo -> Thyristor.Transfert de puissance.
Alim à onduleur à résonnance.
Chauffage par induction magnétique. (réglage de la puissance).
Méthode du plan de phase : application à un convertisseur DC-DC à résonnance. (IUT).
Généralités : destinée à étudier les équa diff à coef constants.
Application à l\’étude des circuits LC -> cercle
Exemple alimenté par E ou par 0.
Application au convertisseur DC/DC à résonnance.
Alimentation à découpage “forward” à un seul interrupteur commandé. (IUT).
- Génie Electronique (Collection Etapes). (3 premières parties)
- Ferrieux Forrest. (limite de fonctionnement cf hacheur à stockage inductif).
Rappels sur le tranformateur.
Rappels sur le hacheur dévolteur.
Avantage de la Forward : adaptation de tension et isolation galvanique.
Structure d\’une alimentation Forward.
Insertion du transformateur (dans un lieu ou il y a de l\’alternatif et une place possible).
Problème de démagnétisation. (différentes possibilités).
Structure classique.
Phases de fonctionnement.
Etude des grandeurs de sortie (Vs, et limite de fonctionnement continu et discontinu (charge peu amortie) ).
Alimentation à découpage “flyback” à un seul interrupteur commandé. (IUT).
- Génie Electronique (Collection Etapes). (3 premières parties)
- Ferrieux Forrest. (limite de fonctionnement cf hacheur à stockage inductif).
Conversion continu-continu. Présentation du hacheur à stockage inductif.
Aventage de la Flyback. (isolation galvanique et adaptation de tension).
Fonctionnement en discontinu (démagnétisation complète)
Equations de base.
Formes d\’onde. (tensions et flux).
Parler du mode de fonctionnement continu (peu utilisé).
Energie en conduction discontinue.
Energie stockée puis transférée.
Calcul de la tension de sortie sur charge R.
Limite du fonctionnement discontinu
Element de stockage d\’énergie magnétique
Absorption de courant sinusoïdal sur le réseau : principe, exemple de convertisseur. (IUT).
- Problème de la puissance apparente : S²=P²+Q²+D².
- Redresseur traditionnel. -> insertion d\’un hacheur.
Principe de l\’absorption sinus et détermination du hacheur.
Principe de l\’absorption sinus.
Nécessité du hacheur survolteur -> parallèle ou à stckage inductif.
Comparaison des 2 types de hacheurs.
Absorption sinus par un ensemble redresseur + hacheur survolteur.
Loi de commande en boucle ouverte.
Commande en boucle fermée.
Détermination du filtre LC en sortie.
Détermination de L. (compromis lissage non commandabilité).
Détermination de C. (pour une ondulation donnée).
Autres structures (cf Séguier tome 4). (en option)
Ponts redresseurs commandés : caractéristiques de sortie ; facteur de puissance. (BTS).
Rappels sur le pont redresseur simple.
Le pont de diodes simple.
Le pont à thyristors simple. (forme d\’onde, valeur de sortie, diagramme PQ).
Construction du pont double.
Pont double à diodes.
Le pont double à Thyristors. (forme d\’onde, valeur de sortie, diagramme PQ).
Angle de garde.
Le pont mixte. (forme d\’onde, valeur de sortie, diagramme PQ).
Groupement série de ponts (triphasé).
Imperfections dues à la source
Source. (effet de l\’inductance de ligne et tps de recombinaison : commutation en court-circuit -> tension= tension médiane).
Circuits magnétiques incluant des aimants permanents : applications aux machines électriques. (IUT).
Propriétés. Un aimant est assimilé à de l\’air et produit des Ampères tours.
Fonctionnement microscopique. Température de Curie.
Cycle B=f(H). et B=uo*(H+M), M=g(H) avec g fction trigger… -> modèle de B=f(H).
Droite de charge. (Utilisation uniquement dans le quadran à gauche en haut).
Critère d\’Evershed. (maximisation de l\’énergie : W=1/2*Ba²/uo*Sa*ha et Ba=Br+2*uo*Ha -> Ha=-Br/2uo et Ba=Br/2).
Influence d\’une variation de l\’entrefer (et donc de la droite de charge). -> droites de recul.
Influence d\’un courant démagnétisant. (on rajoute des Ampère tours NI). -> ex induit de MS en court-circuit : Is compense le champ de l\’inducteur.
Equivalence bobine-aimant.
Concentration de flux -> aimant axiaux.
Problèmes (démagnétisation, limitation en température, usinage).
Avantages (chps importants dans de petits espaces).
Principe de la conversion d\’énergie des MCC. Couple. (BTS).
Calcul de e=-d(phi)/dt.
Calcul du moment magnétique.
Calcul du couple.
-> Nécessité des balais.
Machine à plusieurs conducteurs.
Discussion sur le fonctionnement
(Equations constitutives.)
4 quadrants de fonctionnement.
Bilans d\’énergie.
Réglage électronique des caractéristiques mécaniques des MCC à excitation séparée : limites de fonctionnement dans le plan couple-vitesse. (BTS).
Equations du fonctionnement de la MCC.
Equations en régime statique.
Equations instantanées.
Passage aux valeurs moyennes.
Caractéristiques usuelles.
Omega=(U-RI)/(k*Phi).
Caractéristiques mécanique de la MCC.
On se place dans le plan C=f(omega).
Caractéristique Ce=f(omega,U,phi).Grandeurs de réglage du couple.
Alim en tension : Phi =cte ou U=cte.
Alim en crt : Phi = cte.Pt de fonctionnement.
Alim en tension : vitesse fixe.
Alim en courant : vitesse = f(charge).Limitations.
Thermiques (Pmax).
Mécaniques (Omega max).
Electriques (Imax pour les commutations).
Fonctionnement à couple utile constant. (U variable, Phi fixé).
Fonctionnement à puissance utile constante. (U fixé, Phi variable).
Exemple.
Levage (C=cte).
Traction automobile. (phase de couple constant puis P constante).
Réalisation des variateurs électroniques.
Tableau récapitulatif donnant la structure des variateurs.
Convertisseurs alternatif/continu. (obligatoire).
Convertisseurs continu/continu. (optionnel mais permet des réglages).
Asservissement de vitesse d\’une MCC dont l\’induit est alimenté par un hacheur réversible, boucles de courant et de vitesse. (IUT).
Inversion du modèle.
L\’objectif est de construire le modèle inverse de la MCC qui justifiera la boucle de courant et de tension.
On construit le modèle inverse.
On le simplifie (bouclage d\’un 1/p pour faire p).
On remplace les capteurs (chers) par des intégrateurs dans les correcteurs.
On obtient le modèle avec boucle de courant et de vitesse.
Forces magnétomotrices d\’entrefer dans les machines à courant alternatif. (IUT).
- Comment créer un champ tournant à partir d\’une armature fixe.
- Hypothèses. (ur=cte, energie integralement stockée dans l\’entrefer, e<<2R, pas de phénomène d\’encoche).
Bobinage diamétral concentré.
Bobinage diamétral réparti.
Bobinage idéal. (coeff de distribution).
Evoultion des répartitions en fonction du temps.
Fmm d\’un enroulement fixe monophasé.
Théorème de Leblanc.Fmm d\’un enroulement fixe triphasé.
Théorème de Ferraris.
Principe de la conversion d\’énergie dans les machines synchrones. Etablissement d\’un schéma équivalent monophasé. (IUT).
Principe et structure de la Machine Synchrone.
Principe. (C=M^B).
Structure. (On adoptera le cas bipolaire).
Couple et fem dans une Machine Synchrone.
FEM.
Réaction magnétique d\’induit.
Couple dans une machine bipolaire.
RMI -> Ls.
Inducteur -> E.
Conventions.
Diagramme de Behn-Eschembourg. (Génératrice / Moteur).
Interprétation énergétique. (Détermination de Ce à partir de E et I).
Essais permettants de déterminer le schéma équivalent de la Machine Synchrone.
Essai en court-circuit.
Essai à vide.
Essai volt-ampèremétrique.
Machine synchrone alimentée par un réseau de fréquence fixe : conventions, diagrammes et réversibilité. (IUT).
Proposer un système réel (production d\’énergie avec un lac) pour amener les différents modes de fonctionnement.
Couplage.
Mise en évidence du diagramme de puissance.
Utilisation dans le cas présenté avant.
Action sur Iexc à V=cte.
Action sur V à Iexc=cte.
Réversibilité.
Compensateur synchrone.
Expression du couple en MB*sin(delta) -> stabilité.
Oscillations de couple.
Limites électriques.
Limites mécaniques.
Limites de stabilité.
Machine synchrone à poles lisses : modèle et diagramme de Potier. (BTS).
Etat magnétique de la machine.
On a la caractériqtique à vide E=f(Ie).
On ne peut pas sommer les flux, en revanche c\’est OK pour les fmm.
On défini : flux tot= flux (Ie+I) + flux fuite (lambda*I).
Fonctionnement à vide. (fmm à vide).
Fonctionnement en charge (fmm due à l\’induit).
Résultante. -> définition de Ie+alpha*I.
Schéma équivalent.
V=Er-RI-jlambda*omega*I.
Ier=Ie+alpha*I.
Tracé du diagramme de Potier.
Remarquer la fem Inducteur qu\’il faudrait pour amener la machine dans le même état magnétique.
Détermination de alpha et lambda.
Machine synchrone à pôles saillants non saturée : modèle et diagramme à deux réactances. (IUT).
Tension totale. (somme de trois flux).
Tracé pédagogique. (Repère Iat, Ial, on trace Et, El puis jlwIa et V).
Tracé TP (utilisable).
Puissance et Couple.
Machine synchrone autopilotée alimentée en courants sinusoïdaux par un onduleur de tension : commande, formes d\’ondes, caractéristiques. (IUT).
Hypothèses : fmm sinus, ur >>1, e=cte, Pf ->0, neutre non relié.Représentation. Tension par phase.
va=Ria+Ld(ia)/dt+p*omega*phi*if*cos(teta+Pi/2).Bilan d\’énergie. (P joules, P magnétisation, P utile).-> Couple instantané, condition sur la synchronisation, condition suppl de réglage.
Définition de l\’autopilotage.
Stratégie d\’autopilotage.
Moindre échauffement (psi=0).
Cos(phi)=1.
Commutateur de courant.
Onduleur de tension piloté en courant.
Formes d\’ondes, atténuation des harmoniques grace à la charge RL.
Principe de la conversion d\’énergie dans les machines asynchrones. Etablissement d\’un schéma équivalent monophasé. (IUT).
Explication du fonctionnement à l\’aide d\’un rotor diphasé etdu couple M^B.
Les champs dans la machine. (vitesse relative et absolue).
Mise en équation du fonctionnement.
Hypothèses. (entrefer constant, pas de pertes fer, fmm à répart spatiale sinus.) Attention l\’hypothèse non saturée se déduit des équations et n\’est pas à faire.
Inductances propres et mutuelles de la machine.
Equations au stator.
Equations au rotor.
Schéma avec transformateur.
Schéma ramené au primaire.
Calcul du couple. (indispensable).
Machine asynchrone : Couple, modes de fonctionnement, bilan de puissance. (BTS).
Fonctionnement : moteur / génératrice / Frein. (arbre de puissance).Expression des puissances.
Rappel du schéma électrique équivalent.
Expressions électriques. (permet de trouver le rendement).
Expression mécaniques. (permet de retrouver g)
Expression.
Interprétation (mise en évidence des modes de fonctionnement).
Utilisation (stabilité d\’un pt de fonctionnement).
Pb du démarrage.
Caractéristiques et modes de fonctionnement d\’une machine asynchrone triphasée à cage alimentée par un réseau de fréquence et de tension fixe. (IUT).
Etude des caractéristiques mécaniques.
Tracé de C=f(omega).
Différentes zones de fonctionnement (frein, moteur, génératrice).
Pt de fonctionnement (stabilité).
Pertes et rendement.
Diagramme du cercle et caractéristique Is=f(omega).
Diagramme du cercle. (Is=Iu+Ir).
Lecture de la puissance sur le diagramme du cercle.
Echelle des glissements.
Caractéristique Is=f(omega). -> ensemble des pts accessibles pour un Is donné.
Réglage électronique du couple des machines asynchrones triphasées à cage. Introduction à l\’autopilotage. (IUT).
Fuites totalisées au rotor ramenées au stator. (Couple et Courant Is).
Fuites totalisées au stator. (Couple et courant Is).
Stratégie.
Introduction. (onduleur de tension permettant de régler l\’amplitude et la fréquence rotorique).
Simplification du modèle (Rs négligée, valable au fréq rotorique faibles).
Stratégie de commande. (U/f=cte).
Réalisation de la commande.
Commande en courant (la plus naturelle).
Introduction. (commutateur de courant OU onduleur de tension piloté en courant, ET maintien de l\’état Is=Phi/M*sqrt(1+(wrIr)²).
Réalisation.
Commande scalaire : régime transitoire mauvais, mais aussi que le vectoriel en continu.
Parler des harmoniques dues à l\’onduleur de tension et de leur filtrage par l\’inductance de la MAS.
Moteur pas à pas : principe, caractéristiques et alimentation. (IUT).
- Ne pas confondre moteur pas à pas et moteur à réluctance variable, même structure mais pas les même objectifs.
- On travaillera sur le moteur pas à pas uniquement.
Schéma à 2 paires de poles et un aimant permanent au rotor.
Couple instantané. C=M^B.
Stratégie de commande et forme d\’onde des courants.
Variation du couple utile par retard à la commutation.
Schéma syst de commande -> séquenceur -> ampli puissance -> moteur, rebouclé en courant vers séquenceur, et en position vers le système de commande.
Problèmes des oscillations autour de la position d\’équilibre.
-> perte de synchronisme possible en BF.Problème de fréquence limite au démarrage et d\’accélération.
-> alimentation à 2 niveaux de tension.
Alimentations unipolaires.
Montages simples.
Alimentation à 2 niveaux de tension.
Montage hacheur.Alimentations bipolaires.
Hacheur 4 transistor+diode en anti //.